Le dimanche 16 janvier après un repas dont le gigot flageolet traditionnel était exceptionnellement absent, nous larguons les amarres et nous partons pour une douzaine de jours de traversée de l’Atlantique, deux mille milles d’océan, entre l’eau et le ciel, sans rien d’autre à faire que de manger, dormir, manger encore et dormir encore
regarder voler les poissons volants (zoomez au milieu de la photo, légèrement à gauche…)
et les ramasser sur le pont au petit matin, à moins qu’ils ne se jettent sur vous le soir…
réparer les voiles
réparer un tangon
pêcher des dorades coryphènes
(ci-dessous la dorade du Commandant Stan)
préparer des filets de dorade pour nourrir les 32 embarqués
pêcher un « thazar »
faire la lessive et la vaisselle
contrôler en machine que tout fonctionne bien et vider l’eau du bateau
admirer les pastels du ciel et les nuages poussés par les alizés
photographier les arcs-en-ciel après les grains tropicaux qui nous arrosent d’eau douce et tiède
et s’agglutiner tous à l’avant pour voir le soleil couchant… en attendant le matin pour voir, moins nombreux, se lever le prochain soleil…