Dernier jour aux Canaries : nous visitons la Vegueta (vieille ville de Las Palmas) :
la cathédrale
le buste de Colon (Christophe ou Cristobal pour les intimes)
la maison de Colon (lorsqu’il faisait escale avant la grande traversée vers les « Indes » qu’il a découvertes à l’ouest)
Puis nous reprenons la mer… ou bien la mer nous reprend, car c’est la mer qui prend l’homme (tintintin)…
Le 8 janvier, une magnifique daurade coryphène se prend sur l’une des lignes que nous traînons. Bleue turquoise dans l’eau, elle change peu à peu de couleur et devient jaune citron. Bravo Pêcheur !
Deux jours plus tard, nous vîmes une baleine (ou plus exactement un rorqual), mais elle ne voulut point que vous la vîtes et nous ne pûmes la prendre en photo.
Le 11 janvier, des bancs de poissons de volants nous accompagnent. Avant ce jour, je les imaginais un peu comme des maquettes d’airbus à hélices recouvertes d’écailles qui faisaient des bonds hors de l’eau. En fait, ce sont de petits poissons de 15 à 20 cm de long qui planent au ras des vagues en un vol fin, léger et rapide. Vous les voyez sur la photo ?
Normal que vous ne les voyiez pas, le temps de sortir l’appareil photo, d’appuyer sur le bouton et qu’il se déclenche, l’instant un peu magique où l’animal n’est plus tout à fait un poisson et pas encore tout à fait un oiseau s’est évaporé…
Sinon la vie du bord suit son train-train (son bateau-bateau serait un terme plus approprié) :
lavage du pont
empannage (Hub borde l’écoute)
épluchage (certaine personne souhaite conserver l’anonymat afin que son conjoint continue d’ignorer ses compétences en maniement du couteau économe)
Que d’eau ! Que d’eau !
Nous sommes arrivés aux îles du Cap-Vert le 12 au soir…